Archivum Honkai : Star Rail

Peuples de l'Abondance - Abondance

« Une fleur éclot, pendant qu'un millier se fane. Les os ne racontent pas d'histoires et l'Abondance est volage. »
— L'histoire des mondes comme un miroir, Xianzhou

Les Peuples de l'Abondance créent de la poésie et de l'art au nom de leur dieu bien-aimé, répandant l'amour et la gentillesse de Yaoshi à travers l'univers. Dans le monde béni par Yaoshi, l'eau ne tarit jamais et les créatures sont libérées des liens cruels du temps. La vie est libre d'éclore comme elle le souhaite. Dans le monde béni par Yaoshi, l'âge n'est qu'un nombre et les mortels n'ont pas peur de la vieillesse ni de la mort. Ils profitent au maximum de leurs vies.

Bien que ses peuples viennent de différents mondes galactiques, ils racontent tous la même histoire : il y a des milliers d'années, la guerre ravageait leurs terres. Les vies éphémères des mortels engendraient la cupidité et la peur, entraînant pillages et tyrannie. Alors que les démons et la peste se répandaient, le destin de ce monde et de ses habitants était en jeu... jusqu'à ce qu'un dieu bienveillant descende et plante une graine aussi chaude que le soleil. Le monde entier fut transformé au moment où la graine toucha la terre. Le sol aride commença à s'enrichir et les eaux boueuses devinrent claires. Les femmes et les hommes torturés par les blessures et les maladies ne ressentaient plus aucune douleur. Le cœur des gens n'était plus rempli de chagrin. Les mortels jetèrent leurs armes souillées de sang et commencèrent à vénérer les bénédictions de l'Abondance...

Yaoshi mit fin aux souffrances de ces mondes et accorda aux mortels un corps et une âme pouvant résister à la corrosion du temps. En retour, les Peuples de l'Abondance firent connaître le nom de Yaoshi à travers l'univers pour lui témoigner leur gratitude. Des rumeurs commencèrent à se répandre. Celles-ci mentionnaient que certains chasseurs qui erraient entre les mondes considéraient Yaoshi comme le mal et ses créations comme des créatures souillées. Les Peuples ne toléraient pas un tel blasphème. Les païens devaient payer.